Serghei Dadu: “J’étais connu comme un joueur qui pouvait marquer et renforcer”
Les fans de nore club se souviennent bien de l’ancien footballeur du FC “Sheriff” Serghei Dadu qui a joué en général sept ans pour notre équipe.
Le FC “Sheriff” est vraiment une équipe natale pour Dadu. Ce que Serghei a commencé et a terminé sa carrière professionnelle au FC “Sheriff” prouve ce fait.
L’ancien attaquant du FC “Sheriff”, le footballeur des équipes russes CSKA et “Alania”, le joueur de l’équipe nationale de Moldova Serghei Dadu a accordé une interview au site Eurosport.ru et a parlé de détails intéressants de sa carrière, de son essai en Angleterre et de sa vie au Danemark, des problèmes de Cristian Tudor, de sa blessure, pour laquelle Serghei a terminer sa carrière de footballeur professionnel. Actuellement Sergei fait sa carrière de l’agent de football.
L'interview complète est présentée au site Eurosport.ru
Pourquoi c’était impossible de le convaincre de venir à Moldova? (A propos de Christian Tudor)
Il a promis de venir. J’ai parlé à sa sœur et à ses parents. J’ai expliqué que nous l’accueillirons. Peut-être qu'ils ne voulaient pas le laisser aller tellement loin.
Est-ce que vous regrettez que vous n’êtes pas allé chez lui?
Je regrette que je n’ai pas pu insister de venir ici. Et je regrette que je ne suis pas allé chez lui.
Vous avez réussi à travailler avec Kuchuk à “Sheriff”. Parlez-nous de cela.
C’est un fan de son travail, il fait tout à 100 pour cent. Notre vie, stage, processus de formation - tout était très stricte. Il pouvait mettre à l’amande le joueur pour son retardement, de rayer ce joueur de la liste de l’effectif. Cela ne veut pas dire qu'il était un despote. Pas du tout, c’était une personne normale avec sa psychologie. Telles natures réussissent. Pour lui la discipline est la plus importante, parce qu’il n’y a pas de résultat sans discipline. Malheureusement, nous ne sommes pas des Européens pour nous avoir confiance à cent pour cent. Nous devons toujours être forcés.
Est-ce que vous n’avez pas honte d’avouer que les footballeurs ne peuvent pas jouer sans discipline?
Bien sûr, j’ai honte. C'est d'un enfantillage! Chaque footballeur a son contrat et il doit le respecter. Il est incoyable que les footballeurs font le maximum aux d’entraînements et se détendent pendant le match. Et je ne croirai jamais qu’on oblige les joueurs de jouer au football. Nous aimons jouer.
On dit, que Kucuk était très sévère avec les joueurs de “Locomotiv”.
Il n’y avait pas de tel marasme quant il était l’entraîneur du “Sheriff”. Je ne sais pas s’il le faisait à “Locomotiv”. Sa méthode agit bien sur les joueurs de l'ex-Union soviétique, comme je l'ai déjà dit. Il y a beaucoup de footballeurs à “Locomotiv” qui ont joué en Europe, c’est pourquoi c’était difficile de s’habituer à cela.
Vous avez terminé votre carrière à 32 ans au FC “Sheriff”. Pourquoi?
Je suis reconnaissant à Victor Gushan et au club qui m’a accueilli après une telle blessure. Pourquoi est-ce que je dois tricher moi-même et tout le monde autour de moi? J’était connu comme un joueur qui pouvait marquer et renforcer. J’était obligé de traiter mon genou après chaque match. Qu'il s’agisse de l'équipe amateur, je pourrais jouer trois ou quatre ans. “Sheriff” est une équipe qui s’est fixé les buts les plus élevés, et je ne pouvais pas correspondre au niveau élevé du club. J’ai demandé la direction du club de résilier le contrat pour ne pas tromper l’équipe.
À la fin de votre carrière vous avez même réussi à jouer au lieu du gardien de but du “Sheriff”.
Il y avait un tel cas. On jouait contre “Nistru”. Il restait 15 minutes avant la fin. Un gardien a été blessé, l'autre a reçu le carton rouge. L’entraîneur a décidé de choisir un joueur frais au lieu de gardien. J’ai dit: “Pourquoi? Pour accrocher les balles”. Il m’a demandé si j’avais déjà joué? J’ai dit que j’avais joué sur ce poste dans mon enfance. Malheureusement, on a encaissé à la fin. C’est pour avoir toute sorte d’experience à la fin de la carrière: l'attaquant et le gardien, et le défenseur dans ma jeunesse.
Le FC “Sheriff” est vraiment une équipe natale pour Dadu. Ce que Serghei a commencé et a terminé sa carrière professionnelle au FC “Sheriff” prouve ce fait.
L’ancien attaquant du FC “Sheriff”, le footballeur des équipes russes CSKA et “Alania”, le joueur de l’équipe nationale de Moldova Serghei Dadu a accordé une interview au site Eurosport.ru et a parlé de détails intéressants de sa carrière, de son essai en Angleterre et de sa vie au Danemark, des problèmes de Cristian Tudor, de sa blessure, pour laquelle Serghei a terminer sa carrière de footballeur professionnel. Actuellement Sergei fait sa carrière de l’agent de football.
L'interview complète est présentée au site Eurosport.ru
Pourquoi c’était impossible de le convaincre de venir à Moldova? (A propos de Christian Tudor)
Il a promis de venir. J’ai parlé à sa sœur et à ses parents. J’ai expliqué que nous l’accueillirons. Peut-être qu'ils ne voulaient pas le laisser aller tellement loin.
Est-ce que vous regrettez que vous n’êtes pas allé chez lui?
Je regrette que je n’ai pas pu insister de venir ici. Et je regrette que je ne suis pas allé chez lui.
Vous avez réussi à travailler avec Kuchuk à “Sheriff”. Parlez-nous de cela.
C’est un fan de son travail, il fait tout à 100 pour cent. Notre vie, stage, processus de formation - tout était très stricte. Il pouvait mettre à l’amande le joueur pour son retardement, de rayer ce joueur de la liste de l’effectif. Cela ne veut pas dire qu'il était un despote. Pas du tout, c’était une personne normale avec sa psychologie. Telles natures réussissent. Pour lui la discipline est la plus importante, parce qu’il n’y a pas de résultat sans discipline. Malheureusement, nous ne sommes pas des Européens pour nous avoir confiance à cent pour cent. Nous devons toujours être forcés.
Est-ce que vous n’avez pas honte d’avouer que les footballeurs ne peuvent pas jouer sans discipline?
Bien sûr, j’ai honte. C'est d'un enfantillage! Chaque footballeur a son contrat et il doit le respecter. Il est incoyable que les footballeurs font le maximum aux d’entraînements et se détendent pendant le match. Et je ne croirai jamais qu’on oblige les joueurs de jouer au football. Nous aimons jouer.
On dit, que Kucuk était très sévère avec les joueurs de “Locomotiv”.
Il n’y avait pas de tel marasme quant il était l’entraîneur du “Sheriff”. Je ne sais pas s’il le faisait à “Locomotiv”. Sa méthode agit bien sur les joueurs de l'ex-Union soviétique, comme je l'ai déjà dit. Il y a beaucoup de footballeurs à “Locomotiv” qui ont joué en Europe, c’est pourquoi c’était difficile de s’habituer à cela.
Vous avez terminé votre carrière à 32 ans au FC “Sheriff”. Pourquoi?
Je suis reconnaissant à Victor Gushan et au club qui m’a accueilli après une telle blessure. Pourquoi est-ce que je dois tricher moi-même et tout le monde autour de moi? J’était connu comme un joueur qui pouvait marquer et renforcer. J’était obligé de traiter mon genou après chaque match. Qu'il s’agisse de l'équipe amateur, je pourrais jouer trois ou quatre ans. “Sheriff” est une équipe qui s’est fixé les buts les plus élevés, et je ne pouvais pas correspondre au niveau élevé du club. J’ai demandé la direction du club de résilier le contrat pour ne pas tromper l’équipe.
À la fin de votre carrière vous avez même réussi à jouer au lieu du gardien de but du “Sheriff”.
Il y avait un tel cas. On jouait contre “Nistru”. Il restait 15 minutes avant la fin. Un gardien a été blessé, l'autre a reçu le carton rouge. L’entraîneur a décidé de choisir un joueur frais au lieu de gardien. J’ai dit: “Pourquoi? Pour accrocher les balles”. Il m’a demandé si j’avais déjà joué? J’ai dit que j’avais joué sur ce poste dans mon enfance. Malheureusement, on a encaissé à la fin. C’est pour avoir toute sorte d’experience à la fin de la carrière: l'attaquant et le gardien, et le défenseur dans ma jeunesse.